Extrait de l'émission CPU release Ex0129 : lost + found (volume 7 : Sorties hiver 2020).
Nous recevons Numahell et Yann Dauriac, co-organisateurs du mini-village Alternatiba autour du numérique
- Qu'est-ce que Alternatiba ?
- Il y a-t-il des associations derrières ?
- Est-ce surtout des événements sur la connaissance ou sur l'engagement militant ?
- Donc ce sont principalement des événements locaux sur une organisation nationale ?
- Quel est le public qui vient usuellement à ces événements ?
- Le Dimanche 16 février prochain à la MJC Roguet de 10 h à 18 h aura lieu un mini-village du numérique. Qu'est-ce qui a motivé le choix du thème ?
- Quels sont les axes principaux ?
- Qu'est-ce qu'il y aura de prévu ? Des stands ? des expos ? Des conférences ? Des ateliers ?
- Parallèlement, il y a les rencontres du Mercredi par Toulibre au centre culturel Bellegarde, les contribateliers chaque dernier samedi du mois à la médiathèque José Cabanis, il y aura des animations proches ?
- Qui sera là ?
- Une très grande partie des exposants sont déjà régulièrement là au Capitole du Libre. Quelle et la différence, si ce n'est le lieu ?
- Quel association vous auriez aimé avoir dans Alternatiba numérique ? Emmaus pour EmmaUbuntu ?
- Si je viens avec ma tour PC parce qu'elle est bloquée sur une fenêtre qui me parle de bitcoins, vous pouvez faire quelque chose ?
- Un sujet est préoccupant actuellement entre l'écologie et le numérique : si oui, le numérique consomme des ressources de façon disproportionnées, on voit malheureusement de supposées études, notamment celles de The Shift Project, qui donnent des chiffres non-réalistes, tordant la vérité pour faire passer leur message.
- Comment éviter d'être décrédibilisé par de telles manœuvres, alors que la question de l'empreinte du numérique est importante ?
- Pour terminer, quel message vous aimeriez donner pour donner envie à des novices de venir à la MJC Roguet au 9 rue de Gascogne, ce dimanche 16 février ?
Interview : Da Scritch
Illustration : Détail de l'affiche de l'événement par Tiphaine Perrouault, ©